Stan Newton : Stocklham

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Arnold
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Stan Newton : Stocklham

Message par Arnold »

Alors voici, mon premier roman. Il n'y a que deux chapitres, le troisième est en écriture. Il y a quelques fautes d'orthographes, veuillez m'en excusez d'avance. Bonne lecture :)

Stan Newton : Stocklham



LE RENOUVEAU

C’était un soir comme les autres… Le 15 Septembre, alors que les enfants de la pension de Edimburgh allèrent les uns après les autres se coucher, un vent glacial survola l’avenue de Barnton, puis quelques temps après, il y eut une lueur de lumière si violente et si aveuglante qu’on aurait cru qu’un astéroïde s’était écrasé en plein milieu de Edinburgh. Mais, il était si tard qu’aucune personne ne rodait dans les alentours de Barnton, on voyait maintenant une ombre se dessinait au bout de l’avenue.

Un grand homme, costaud, caché par la fumée qui se dégageait autour de lui, avançait pas à pas sereinement, tenant dans ses bras une sorte de cocon. Mais au fur et à mesure qu’il marchait on pouvait constater que cette homme atteignait facilement les deux mètres, après être arrivait devant la pension, il s’arrêta net, et observa l’endroit où il était.

Une femme de ménage de la pension alla sortir les poubelles, et se retrouva face à face avec cette homme si terrifiant et costaud.
- Mais… Qui êtes vous ? Que faites vous là à cette heure si tardive, devant la pension ?! s’exclama la femme de ménage en déposant brusquement les poubelles par terre.
L’homme resta silencieux. Il déposa tout doucement le cocon sur le sol, et sorti de sa veste un morceau de papier qui glissa dans une poche du cocon.
- Ah ! D’accord, je vois ! Vous voulez vous débarrasser d’un pauvre bébé ! Savez-vous messieurs que ici nous ne reprenons pas les orphelins ! C’est une pension pour apprendre à vivre ensemble et à étudier ensemble, cela s’appelle la solidarité, et sachez que chez nous c’est l’objectif principal, dit la femme de ménage d’un air bourgeois. ! Maintenant, je vous re-pose la question : Que voulez-vous ?

Mais l’homme resta silencieux, il ne se souciait pas de la femme.
- D’accord, très bien ! J’appelle la police ! et elle rentra dans la pension avec un air de défi.
L’homme regarda le cocon, et prononça une parole presque inaudible.
- Te voilà enfin près Stan, murmura t-il.
La femme ressortit aussitôt.
- Voilà, je viens de….. mais ou est t-il passé ? Il était là il y a deux minutes…
La femme regarda silencieusement le cocon, et pensa qu’il n’y avait pas d’autres solution que de le prendre, et de l’emmener dans la pension. Elle s’approcha et pris le cocon entre ses bras, puis lisa le morceau de papier qu’il avait laissé. Il y avait écrit en gras, « STAN NEWTON »

















Le Grand Jour


Dix ans plus tard, le 14 Septembre, alors que Stan venait de se réveiller en sursaut de son lit, il enfila ses habits, prépara son sac et descendit les marches à vive allure. Une bonne femme à peine réveillée s’écria :
- Stan ! Doucement dans les escaliers, tu va réveiller toute la pension avec ce vacarme !
- Pardon mademoiselle Brett, c’est juste que j’attendais ce jour avec grande impatience.
- Ce n’est quand même pas une raison pour faire autant de boucan !
Il continua de descendre les escaliers pour rejoindre la pièce principal, et s’aperçut que personne n’était levé à part une jeune femme qui commença à peine à préparer le petit déjeuner.
- Oh ! Bonjour Stan, tu es matinal ce matin, n’est ce pas ? dit-elle.
- Oui, je venais de faire un mauvais cauchemar… dit-il, tout en s’asseyant sur une chaise en bois près de la cheminée.
- Mais dis moi ? Ce n’est pas demain ton anniversaire ?
- Oui c’est demain le 15 Septembre, répondit Stan.
- Ca va te faire quel âge dit moi ?
- Ca va me faire 11 ans, lança t-il avec fierté.
- Oh, mais tu t’apprête à devenir un jeune garçon dis-moi. Que veux tu pour ton petit déjeuner ?
- Je veux juste une tartine de pain avec du beurre, ca me suffira, répondit t-il.
Cette pension était la plus demandé en Angleterre, car c’était souvent des personnes assez riches dans l’ensemble qui envoyés leurs enfants qui avaient souvent des problèmes dans leurs anciennes écoles, soit des problèmes de discipline soit des problèmes d’intégrations. Le dicton de la pension était simple, on étudient plus, pour réussirent plus, mais pour moi c’était plus facile qu’a dire qu’a faire. La pension était aménagés sur quatre étages égaux. Il y avait d’abord le rez-de-chaussée, c’était comme la salle de jeux de la pension. Tous les enfants s’y retrouver soit pour faire leurs devoirs, soit pour jouer, ou pour manger. Ensuite, au 1er étage il y avait toutes les chambres des Poussins âgés de 10 à 12 ans, avec deux salles de bains, une pour les garçons et une autre pour les filles. Au 2ème étage, c’était toutes les chambres des Benjamins âgés de 13 à 15 ans, comme il était plus nombreux que les Poussins il avait six salle de bains. Trois pour les garçons, et trois pour les filles. Au 3ème étage, se trouvait les derniers pensionnaires, les Cadets, les plus grands. Il était âgés de 16 à 18 ans. C’était les moins nombreux. Il avait comme les Poussins, juste deux salles de bains, une pour les garçons et l’autre pour les filles. Et pour finir au 4ème étage, c’était là où se réunissait les membres de la pension : femme de ménage, concierge, l’administration…
Stan n’avait pas d’amis, personne ne l’aimait. Il ne savait pas pourquoi mais tout le monde le regardai d’un mauvais œil. Tous les matins, on le bousculait dans l’escalier, on l’insultés de tous les noms. Il ne savait plus quoi faire, il voulait partir loin, très loin.

Tant dis qu’elle préparait le petit déjeuner pour Stan, les autres enfants s’apprêtaient à descendre, la directrice de la pension descendit les marches une à une, en trainant son long peignoir de fourrure, elle était grande, mince et âgée à en juger par sa peau ridée. Ses cheveux étaient courts avec un chignon tiré jusqu’au cou, elle avait des lunettes fines, et ronde qui lui tombaient sur le bout de son nez pointu. Cette femme s’appelait : Kaitlyn Burnett.
Madame Burnett sans dire un mot, s’avança vers Stan et s’écria :
- Ecoute moi bien Stan, je te le dis une dernière fois et je ne le répéterai pas. Si de bon matin, tu descend les escaliers à vive allure et que tu fait un boucan d’enfer, je te priverai de sortie pendant un mois, de plus aujourd’hui tu as la chance de visiter le magnifique château d’Edimburg avec ta classe. Et je rajoute que demain c’est ton anniversaire. Alors, tache de bien te tenir ce week-end. Compris Stan ?
Stan habitué à ses discours, se contenta de répondre :
- D’accord Madame Burnett…

Sur le même moment, les enfants de 10 ans à 18 ans dévalaient, les marches en ce chamaillant brutalement, ils se placèrent chacun dans un endroit différent. Les enfants âgée de 10 à 12 ans,
se placèrent au bord de la cheminée, ceux de 13 à 15 ans, à droite de la cheminée, et les plus grands de 16 à 18 ans, entre les Poussins et les Benjamins.
Tous les élèves se mirent alors à discuter de tous et de rien, soit de leurs rêves fascinant, ou de leurs devoirs qu’ils allaient à faire pour le début de la semaine.
La jeune femme déposa la tartine de beurre qu’avait demandé Stan, et s’occupa des autres élèves qui attendaient impatiemment leurs petit déjeuner.
Stan attendait son ami d’enfance, il en avait un seul, il s’appelait : Marwin Kim, c’était un brun avec des cheveux mi-longs, il était facile à reconnaitre, il portait toujours du orange sur lui, il disait que c’était la couleur du Soleil, la couleur de la chaleur. Mais comme chaque matin, il attendait Marwin avec impatience pour se sentir moins seul dans cette marmite d’élèves, Marwin il le connaissait depuis son enfance, il a grandi avec lui mais il savait que Marwin était orphelin, il avait entendu un jour dans la cuisine, deux femme de ménages qui parlait de ses parents qui étaient décédés accidentellement dans un accident d’avion. Mais Stan ne lui à jamais dit, et il préférait attendre pour lui dire la vérité. Mais ce jour-ci il ne le vit pas descendre.
Après que tous les élèves aient pris leurs petit déjeuner, Madame Burnett décida de suspendre quelques minutes leurs temps de relaxation. Elle s’avança vers la tables des Cadets, et s’écria :
- Silence ! Tous les élèves firent un bon, et se tourna instinctivement vers Madame Burnett.
- Bien, reprit Madama Burnett.
- Comme vous le savez, une sortie est prévue au Château de Edimburgh de midi à quinze heures, ça sera une sortie pédagogique et culturelle, elle s’effectuera avec les Poussins et les Benjamins avec l’accompagnement de l’éducatrice mademoiselle Brett . Pour les Cadets, vous irez au Musée de la Police National de Edimburgh avec l’éducatrice mademoiselle Lindley.
Des sifflements s’élevèrent de la table des Cadets.
- Je vous prie de faire un minimum de silence pour le respect de mademoiselle Lindley qui vous accompagne à la sortie ! insista Madame Burnett.
Il y eût des chuchotement à la table des Cadets, qui logiquement parler de mademoiselle Lindley.
- Très bien ! Je crois que j’ai tout dit pour aujourd’hui, je vous laisse maintenant finir votre petit-déjeuner.
Et Madame Burnett repartit aussitôt à la table des membres de la pension.

Stan toujours aussi impatient d’attendre son ami Marwin, il décida alors, d’aller le voir directement dans sa chambre.
- Stan ? Où vas tu ? s’écria une voie vers la table des membres de la pension.
- Ah, je vais juste récupéré un livre que j’ai laissé sur ma table de chevet hier soir avant de me coucher, mentit Stan.
- Bien, va le récupérer, mais dépêche toi.
Il savait que cette pension était très stricte, et il fallait être poli pour chaque phrase qu’on prononçait à une personne majeur.
Stan monta les escaliers comme une flèche, et se retrouva face à la salle des Poussins. Il savait parfaitement où était situé la chambre de Marwin, c’était la chambre n°17. Il se retrouva maintenant face à la chambre. Il toqua une première fois, pour voir si il dormait. Aucune réponse. Il toqua une deuxième fois, et il entendit un petit bruit de fond très faible.
- Stan… C’est toi ? demanda t-il.
- Oui c’est moi Marwin, ouvre moi s’il te plait.
- Ecoute, c’est compliqué à expli…. commença Marwin.
- Bon ouvre moi Marwin, je dois me dépêcher ! interrompit Stan.
- Bon d’accord…
Marwin s’avança vers la porte, et l’ouvra pour faire entrer Stan qui ne pouvait plus attendre une seconde de plus.
- Ah c’est pas trop tôt ! Qu’est ce qui ce passe pour avoir une tête comme ça ? demanda Stan.
- Assied toi, je vais t’expliquer, répondit-il.
Stan s’assit sur le lit de Marwin, et s’attendait qu’il lui dise une blague pour faire une farce, mais il se rendit compte que Marwin n’était vraiment pas bien.
- Cette nuit, débuta Marwin. Au alentours de vingt-trois heures, j’ai vu une ombre passer devant la fenêtre, comme si un fantôme venait me rendre visite.
- Mais ça n’existe pas les fantômes voyons ! interrompit Stan.
- Je sais que ça n’existe pas les fantômes, reprit-il. Mais je te jure qu’il y avait une ombre. Et puis, l’ombre s’est arrêtée. Et là tout d’un coup, il y eut une explosion de lumière ! s’exclama Marwin.
- Une explosion de lumière ? C’était peut-être un rêve tu sais, des fois on ne fait pas attention entre le réalité et l’imaginaire.
- TOC TOC !
- Mince, c’est sans doute la femme de ménage ! s’écria Stan.
- Cache toi dans mon placard ! répondit Marwin.
Stan se dépêcha de se cacher dans le placard, et Marwin alla ouvrir la porte.
- Bonjour Marwin, il faut que tu descendes prendre ton petit-déjeuner tu es encore le dernier à te lever, dit la femme de ménage.
- Oui j’allais descendre, mentit Marwin.
- Mais, tu n’aurais pas vu Stan ? Il m’a dit qu’il devait aller chercher un livre sur sa table de chevet et il n’est toujours pas descendu.
- Ah non, désolé, répondit Marwin.
- Ah ce Stan, c’est vraiment un clown ! s’exclama t-elle. Enfin… N’oublie pas la sortie pédagogique au Château de Edimburgh de midi à quinze heure.
- Très bien, dit Marwin.
- Bon je te laisse t’habiller.
- D’accord madame.
Et la femme de ménage referma la porte derrière elle.
- Eh bien ! Toi tu vas passer un sacré quart d’heure ! s’exclama Marwin.



LE SECRET DU CHATEAU


Quelques minutes plus tard, Stan et Marwin descendirent les marches pour rejoindre la pièce principal, et Stan s’attendait à avoir la plus grande punition qui l’ai jamais pu avoir. Arrivé en bas de l’escalier, Stan la tête baisser vers ses pieds s’avance vers la chaise la plus proche comme un enfant qui n’avait pas eu son goûter. Il n’y avait maintenant plus personne dans la pièce, il ne restait que quelques femmes de ménages qui nettoyer les derniers bols qui restait , et bien sûr Madame Burnett qui l’attendait patiemment au bord de la cheminée.
- Bien, commença Madame Burnett. Encore vous deux, toujours les mêmes à faire les pitres dans ma pension.
- Mais Madame Burnett… reprit Stan.
- Il n’y a pas de « mais » qui tienne chez moi ! Alors écoutez moi bien vous deux maintenant, je vais devoir être obligé de vous punir, pour commencer, Stan tu ne dois pas mentir aux personnes majeurs à qui tu t’adresses ! Et de plus, Marwin tu devras non seulement te lever plus tôt, mais aussi à apprendre à ne pas héberger t’es compagnons dans ta chambre sans une autorisation d’une personne membre de la pension !
- Bien Madame Burnett, dit précipitamment Stan et Marwin en même temps.
- Votre punition pour vous deux sera à la hauteur de votre bêtise. Stan, tu devras chaque soir pendant deux heures, nettoyer tous les vêtements des Poussins à la main, jusqu'à que tu comprendras ! Et pour toi Marwin, tu seras privée de petit-déjeuner pendant une semaine, et tu te lèveras tous les matins à six heures, compris vous deux ? s’exclama Madame Burnett.
- Oui Madame Burnett, répondirent Stan et Marwin d’une voix sanglante.
- Bien, votre punitions commence dès aujourd’hui, reprit Madame Burnett. Maintenant, montez tous les deux votre chambre respective et vous attendrez jusqu’à midi pour aller à la sortie avec mademoiselle Brett.
Et elle repartit sans dire un mot vers les escaliers, suivit de Stan et Marwin.
Stan s’installa dans sa chambre, c’était la n°24, c’était une chambre avec 4 murs qui donner sur la route, il n’y avait presque rien à par un lit, une armoire, une chaise et une table de chevet avec un magazine qui adoré lire c’était Astuces astucieuse pour ne plus s’ennuyer. Il s’étala dans son lit en pensant que demain c’était son anniversaire, et qu’il devait faire un vœu pour sortir de cette pension abominable. Il savait déjà son vœu, il voulait trouver un endroit tranquille là où il pourrait avoir des amis et admirer la vie, et ne plus revoir cette pension. Mais il savait que ce n’était pas possible, il devait rester jusqu’à qu’il soit majeure et qu’il trouve un travail pour gagner de l’argent et trouver un studio pour y vivre. Mais, aucun métier ne lui venait à l’esprit. Il n’était que onze heures, et il devait attendre encore une heure pour sortir de cette prison. Pour passer son temps, il mettait une chaise et il observait les nuages à travers la fenêtre. Le ciel était assez claire, et il n’y avait pas beaucoup de nuages. Il n’y avait aucun moyen de communiquer avec son ami Marwin, encore moins de le voir. Après avoir observer le ciel pendant une vingtaine de minute, il aperçut une petite fillette traverser la route, elle devait pas avoir plus de treize ans, elle avait les cheveux long et blond bien coiffées, elle était habillés d’une jupe jaune et un t-shirt bleu avec une veste marron. C’était une très jolie fille de première vu. Mais il s’interrogea pourquoi elle passait par cette rue, personne ne passait ici, il n’y avait absolument rien à faire. Peut-être avait-elle de la famille ici ? Où peut-être était elle perdu ?
- Hé ! s’écria Stan. Tu as besoin d’aide ? Tu es perdu ?
La fillette continua d’avancer comme si elle avait rien entendu.
- Hé ! Répond ! Tu veux de l’aide ? Je ne te veux pas de mal, je te jure ! continua Stan qui commençait à en avoir marre de parler dans le vide.
Mais la fillette s’en alla de plus en plus loin jusqu’à ne plus la voir.
Décidément, personne ne veut de moi aujourd’hui ce disait-il. Il retourna s’assoir et continua d’observé le ciel comme si de rien ne s’était passer.
Il était maintenant midi, et mademoiselle Brett alla toquer dans les chambres des Poussins et des Cadets pour partir au Château de Edimburgh.
- TOC TOC ! Stan tu es prêt ? Il faut partir maintenant, s’exclama mademoiselle Brett.
- Oui j’arrive, répondit Stan.
Arnold Bondupois Membre du B.R.A.S.
Brigade de Réparation des Accidents de Sorcellerie.


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Verrouillé

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