Lieux d'expression pour tous, le café des arts héberge vos créations (Poésie, dessins, histoires...). Attention, rien ne doit porter sur Harry Potter !
Hello les gens ;D A l'origine, j'ai commencé à écrire cette histoire pour un concours, mais je ne l'ai jamais présentée (j'ai oublié ! :S ). Et pis je me suis dit que j'allais essayer de la terminer... et même si je n'ai pas encore fini, je vous met le début. Donnez votre avis ! :] En gros, c'est l'histoire de Fale, quatorze ans. C'est la nuit d'Halloween... et évidemment, il va lui arriver quelque chose, sinon c'est pas drôle :3 ...je suis une vraie sadique, je vous promet qu'ils vous souffrir physiquement et psychiquement... Hum 8B Enfin, bon, c'est un polar, quoi ! Enfin, j'espère que ça en sera un... On verra !
Spoiler (cliquez pour révéler) :
Fale posa sa tête sur la surface glacé.
Sa cheville était enflée, son œil gauche aussi et un liquide chaud coulait dans son cou. Elle se remémora les évènements de la journée en fermant les yeux. Elle ne voyait pas le moindre espoir.
Mais comment cela avait-il pu se produire en une seule journée, en l'espace de vingt-deux petites heures ?
Comment ?
Martin étira ses lèvres rouges en découvrant ses canines d'un blanc immaculé. Fale ouvrit la bouche comme pour hurler...
_T'as eu peur, hein ?
_Mais oui, très peur.
Elle rit légèrement et se détourna. Martin s'éloigna en ajustant son dentier de vampire. La cape noire faisait comme des ailes de corbeau sur les flans du petit garçon alors qu'il courrait hors de la cuisine. Fale sourit, les yeux perdus dans le vague. Elle ouvrit un tiroir et en sortit un couteau. Son pouce se promena doucement sur le fil de la lame, sans qu'elle exerce aucune pression, puis elle glissa l'objet dans la poche arrière de son jean. Elle lança :
_Maman ? Papa ? Martin ? Vous pouvez venir ?
Elle soupira, une main sur le manche du couteau, et réfléchit à ce qu'elle allait faire. Elle en avait envie depuis très longtemps... elle savait qu'elle risquait de leur faire peur... si son plan échouait tout se passerait très mal pour elle... Qu'à cela ne tienne, elle voulait le faire.
Son père et sa mère entrèrent dans la cuisine, suivis de Martin qui tentait de remettre en place ses fausses canines de vampires, ses doigts roses dans sa bouche. Fale prit une grande inspiration. Elle pensa « A un moment il faut arrêter de réfléchir, il faut agir. Je vais le faire. » Elle serra le manche du couteau et le fit glisser hors de sa poche sans bruit. Elle le leva au-dessus de sa tête. Sa mère fronça les sourcils, Martin la regarda avec des yeux ronds et son père, lui,... n'eût aucune réaction. Fale abaissa le couteau d'un seul coup dans le vide en éclatant de rire. Sa mère s'écria, un petit sourire contrit aux lèvres :
_Fale, je ne veux pas que tu joues avec ces couteaux. Ils sont très dangereux et puis... tu pourrais donner de mauvaises idées à ton frère !
_Oh, maman, je peux faire des blagues, non ?... c'est Halloween !
_Tiens, justement, je ne veux pas que tu rentres trop tard à la maison. On ne sera là qu'à trois heures du matin, et encore...Je serai plus tranquille si je te sais au chaud. D'accord ? Ce n'est pas parce que c'est Halloween qu'il faut faire n'importe quoi ! Martin sera chez Emma, tu l'appelles si tu as le moindre souci. Et puis tu nous appelle juste après, hein ? D'accord, chérie ?
Fale sentit la culpabilité lui tordre les entrailles, mais elle réussit à ne rien laisser paraître. Est-ce qu'elle allait oser faire le mur le jour même d'Halloween ? Ce serait deux fois plus excitant que de le faire un jour normal, mais allait-elle oser faire ça à ses parents ? Elle lança, faussement décontractée :
_Bien-sûr, maman ! Je ne vais pas courir les rues jusqu'à cinq heures du matin !
Pure et simple mensonge. Mais Fale paraissait tellement innocente et avait désobéit si peu de fois à ses parents, que sa mère ne sembla se douter de rien. On aurait pu retrouver Fale sur une scène de crime, l'arme fautive entre les mains et penchée sur la victime qu'on ne l'aurait pas soupçonné tout de suite. De plus, Fale savait très bien mentir.
La mère de Fale enfila son manteau, attrapa son sac à main et sortit après avoir embrassé ses enfants. Elle alla attendre dans la voiture. Son mari amena Martin chez sa nourrice, qui habitait à quatre maisons de là, déposa un rapide baiser sur le front de sa fille et couru jusqu'à la voiture où il s'assit sur le siège passager. Fale agita la main en direction de leur voiture, tandis que celle-ci disparaissait au coin de la rue.
Aussitôt après, elle rentra à l'intérieur. Elle s'empara du téléphone, dans le salon, et composa le numéro de sa meilleure amie. Violaine répondit :
_Alors ?
_C'est bon, ils sont partis. Je vais commencer à me préparer, j'arrive devant chez toi à sept heures. Et de ton côté ?
_Tout est parfait.
_Bien. Mes parents rentrent vers trois heures, voire plus.
_Même chose pour moi ! A tout à l'heure, et ne stresse pas trop !
_Oui, souffla Fale mais Violaine avait déjà raccroché.
Elle monta dans sa chambre pour se maquiller et mettre son attirail de parfait zombie. Elle savait que cette nuit allait être la plus excitante de sa vie.
C'était bien ce qui l'effrayait.
Alors... ?
EDIT : En fait, je ne vais pas faire de suite parce que que je ne suis qu'un grosse fainéante et que je n'ai plus d'inspiration, et aussi parce que je veux me concentrer sur d'autres trucs ... je laisse le début mais il n'y aura rien après et on ne saura jamais ce qui s'est passé (même pas moi ;D) Pour ceux qui ont du temps à perdre, vous pouvez essayer d'écrire une suite. Vous voyez, le genre de rédac' qu'ont vous faisait faire en sixième ! Eh bien, allez-y... faites moi une suite !
'Impatiente de voir ce qui peut lui arriver à cette pauvre Fale :B
"J'essaie de faire s'ouvrir les fleurs qui me poussent dans la tête." K.C.
Lorsque la fête fut terminée, la petite sorcière retourna au château et s’endormit en espérant déjà le retour de cette merveilleuse fête. Au matin venu, lorsqu’Émilie se rendit à la cuisine sa mère poussa un cri énorme qui fit trembler toute la maisonnée. Émilie ne savait pas ce qui se passait. Elle
regarda dans le miroir et se vit toute belle. Son nez crochu et boutonneux comme les vieilles, vieilles sorcières et ses cheveux hirsutes et vieillots avaient disparu. Elle avait un petit nez tout coquet et des cheveux noirs de jais.