Le ryrhme se saccade peu à peu comme si le poète avait du mal à écrire les mots et j'ai trouvé ca trés prenant ! J'adore vraiment c'est excellent Pantae et ne dis pas que tu n'es pas un poète car manifestement tu en es un !


..................................................................................................................................................................... écrit le lendemain de Noël, loin d'ici.
que veux-tu répondre qui ne tomberait pas dans le banal ou la lourdeur ?Lupine a écrit :J'adore vraiment c'est excellent Pantae et ne dis pas que tu n'es pas un poète car manifestement tu en es un !![]()
Je peux quand même dire que je suis content de savoir que certains apprécient, parce que j'ai essayé une toute nouvelle "méthode" de travail pour celui là, et je ne me sentais pas capable de me décider sur la valeur du résultat.Lupine a écrit :Le rythme se saccade peu à peu comme si le poète avait du mal à écrire les mots et j'ai trouvé ca trés prenant !
Un chien passe en courant ; il exulte, enfin libre
Et comme lui, même immobile, je me sens vivre.
Me mêler à la masse de ceux qui s’isolent
Compris uniquement après vérification au dictionnairelilyrose a écrit :aède
Cette forme n'est arrivée qu'après trois ou quatre modifications (massives) ; à l'origine, il avait une forme tout à fait traditionnelle. Mais ça ne marquait pas assez la différence entre questions, réponses et la troisième partie.lilyrose a écrit :Pour une nouvelle initiation à tes poèmes, j'avoue que tu commences fort. Au début, j'étais un peu perplexe, peut-être parce que je n'ai pas l'habitude de lire des poèmes sous cette forme
La musique, c'est Foggy Dew. J'ai choisi ce morceau parce que... je n'avais plus assez de place sur la carte mémoire de mon appareil photo pour un plus longlilyrose a écrit :Sinon, le "cadeau" est transportant. Tu vas me prendre pour une inculte mais qu'est-ce-que tu joues à la flûte ?
En tout cas, tu es doué. ^^
Je l'ai écrit également à Oxford celui-là, même si ça se voit moins ^^. C'était dans le cimetière dans lequel est enterré C.S.Lewis. et il y avait cette tombe :lilyrose a écrit : In Memoriam : Court, peut-être pour symboliser la vie qui est éphémère. ^^
Je voulais que ce poème soit comme les trois roses ; donc, en trois strophes de trois vers commençant par la même lettre au sein d'une même strophe. Ce qui explique qu'il soit si court.
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Itou ^^lilyrose a écrit :J'adore les oxymores. ^^
Je voulais vraiment humaniser la Mort, donc éviter le morbide le plus possible. Limite, je voulais qu'on voit un ivrogne, on un pauvre type égaré, qu'on le plaigne un peu, et qu'à la découverte de sa véritable identité, on continue à le plaindre : après tout, c'est pas un boulot facile d'être la Mort, tu dois te sentir mal quand tu vois en quoi consiste ton travail et ses conséquences...lilyrose a écrit : Soirée d'ivresse : Je l'aime beaucoup. Ca a beau parler de la mort, c'est dit en toute poésie, sans excès de morbide.
Pas vraiment... A la base, je pensais, crédule que je suis, que ce serait le dernier poème que je publierais ici. Je m'étais dit qu'il sonnait bien comme conclusion. La première lecture, c'était simplement le voir comme l'histoire d'un type qui se lance, qui écrit puis qui a fini d'écrire son poème ; la deuxième, c'était un "au revoir", un type qui a écrit quelques trucs intéressant mais qui finit par estimer qu'il se répète dans ses thèmes, que son inspiration disparaît (la bougie s'essouffle)... qui prend peur aussi de ce qu'il dit parfois devant ce qu'il écrit (Il voit le tambour de mon cœur ; Scrute la faiblesse de ma main) et il se dit qu'il est peut-être encore temps de faire ce qu'il aurait déjà dû faire avant de "tuer le blanc" (Mes doigts [...]. J’aurais dû les faire taire.). La deuxième lecture, c'était de voir le texte comme une généralité, parlant de l'ensemble de "l'oeuvre", pas pour un texte en particulier.lilyrose a écrit :Quand tu parles d'une lecture à deux niveaux, il faut lire un vers et ensuite le premier qui suit à partir de "ma plume s’est tue" ?
Inquiétant, je n'ai même pas dépoussiéré celui-là et je reste reconnaissable. Il est vraiment temps que j'évolue un peu.lilyrose a écrit :- Un verbe, une vie : Ca a beau être un ancien poème dépoussiéré, on retrouve quand même ton style.
La critique vaut en taille le poème ^^ Lui aussi il a une sorte de double lecture ; on peut le voir comme adressé à l'Amour directement, ou simplement à une fille. Les deux sont un peu vrais.lilyrose a écrit :- A une inconnue : Inspiration : Juste un mot : joli !
C'est souvent comme ça quand on passe de la réalité au rêvelilyrose a écrit :- A une inconnue : Senteur Vanille : J'ai eu du mal à comprendre l'enchaînement de la première strophe et de la deuxième avant la deuxième lecture. L'inspiration de Noël, si loin d'ici, elle a un goût d'exotisme. ^^
Suuuuuuuuuuuuuuuuuuuurprise ! ^^Pantalaemon a écrit :![]()
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Lily !
Belfe a écrit :Quel pavé, mais quel plaisir de lire un pavé parfois (oui, ça veut dire que, maintenant que je me suis remis à la lecture de pavé, je vais lire le tien... mais l'autre. Bref, je suis sûr que tu m'a compris. On se dit que les pavés comme tu les écris se lisent assez vite.)
Bonne chance !Chapeau népalais a écrit :Compris uniquement après vérification au dictionnairelilyrose a écrit :aèdej'essayerai de le replacer un jour dans une conversation, juste pour en mettre plein la vue
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C'est sûr mais les étiquettes, ça sert aussi à nous rappeler comment on est fait. Un petit "Made in..." et tout s'éclaire. C'est pour ça aussi que c'est dérangeant une étiquette ; ça nous rappelle ce qu'on est, alors que quelques fois, on voudrait l'oublier et passer à autre chose.Belfe a écrit :Les étiquettes, ça gratte de moins en moins au fur et à mesure des lavage et qu'on s'y habitue... C'est pour ça qu'elles sont dérangeantes ; on s'y habitue.
La forme est parfaite comme ça, mais au premier abord, c'est déconcertant mais c'est pas plus mal. Mais ça a son sens prpore, que l'on comprend après la lecture.Pantalaemon a écrit :Cette forme n'est arrivée qu'après trois ou quatre modifications (massives) ; à l'origine, il avait une forme tout à fait traditionnelle. Mais ça ne marquait pas assez la différence entre questions, réponses et la troisième partie.
Le hasard fait parfois bien les choses. ^^Belfe a écrit :La musique, c'est Foggy Dew. J'ai choisi ce morceau parce que... je n'avais plus assez de place sur la carte mémoire de mon appareil photo pour un plus long
Ah, je n'y ai pas pensé. Vu comme ça, c'est moins fantaisiste que mon explication !Belfe a écrit :Je l'ai écrit également à Oxford celui-là, même si ça se voit moins ^^. C'était dans le cimetière dans lequel est enterré C.S.Lewis. et il y avait cette tombe :Je voulais que ce poème soit comme les trois roses ; donc, en trois strophes de trois vers commençant par la même lettre au sein d'une même strophe. Ce qui explique qu'il soit si court.
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Sans mentir, j'ai pensé à la Mort au moment "Elle porte une légère cape de haillons noire/Et une lourde paire de gants blancs." pour me dire "Ma pauvre fille ! Tu as trop lu Le conte des trois frères !Panta a écrit : Je voulais vraiment humaniser la Mort, donc éviter le morbide le plus possible. Limite, je voulais qu'on voit un ivrogne, on un pauvre type égaré, qu'on le plaigne un peu, et qu'à la découverte de sa véritable identité, on continue à le plaindre : après tout, c'est pas un boulot facile d'être la Mort, tu dois te sentir mal quand tu vois en quoi consiste ton travail et ses conséquences...
Tu n'as pas tenu longtemps, et c'est tant mieux.Belfe a écrit :Pas vraiment... A la base, je pensais, crédule que je suis, que ce serait le dernier poème que je publierais ici. Je m'étais dit qu'il sonnait bien comme conclusion. La première lecture, c'était simplement le voir comme l'histoire d'un type qui se lance, qui écrit puis qui a fini d'écrire son poème ; la deuxième, c'était un "au revoir", un type qui a écrit quelques trucs intéressant mais qui finit par estimer qu'il se répète dans ses thèmes, que son inspiration disparaît (la bougie s'essouffle)... qui prend peur aussi de ce qu'il dit parfois devant ce qu'il écrit (Il voit le tambour de mon cœur ; Scrute la faiblesse de ma main) et il se dit qu'il est peut-être encore temps de faire ce qu'il aurait déjà dû faire avant de "tuer le blanc" (Mes doigts [...]. J’aurais dû les faire taire.). La deuxième lecture, c'était de voir le texte comme une généralité, parlant de l'ensemble de "l'oeuvre", pas pour un texte en particulier.
Un moment j'y ai cru... mais je n'ai pas tenu longtemps.
Chapeau népalais a écrit :La critique vaut en taille le poème ^^
Pantalaemon a écrit :Merci beaucoup d'être passée, ça me fait vraiment plaisir![]()
Belfe a écrit :A bientôt, mais sur un autre topic
Arthur a écrit :Ça vous fait pas mal à la tête de glandouiller 24h/24?
OC a écrit :"Oui, l’histoire est merdique, mais la vache, qu’est ce que les effets spéciaux sont bons !", ça revient à dire "Bon, d’accord, quelqu’un vient de chier dans mon assiette, mais la sauce est bonne, non?"
Là est précisément la différence entre rimailleur et poète ; le poète touche et est bon, le rimailleurs peut se contenter de toucher. d'où la différence entre Baudelaire et moi ^^ Honnêtement, je n'aurais jamais songé à l'égaler par ce poème.Pellopupuce a écrit :Tu sais Panta... Il y a des rimailleurs, et puis il y a les autres...
Sans vouloir t'encenser, ta composition a toucher l'alcoolique-futur-mort que que suis: grâce te sois rendu pour ça.
Tu as beaucoup de mérite: le peu de vers que j'ose produire(à jeun ou pas) termine inéluctablement sa vie dans la corbeille: Molière a du Génie, Christian est beau, et moi je ne ne vaux rien, tout juste un rimailleur de bas étage... c'est pourquoi ton poème sur la mort (sans être bon: tu passes après Baudelaire, Désolé Camarade)m'a touché, ce qui est le principal: continue sur cette voie... que te souhaiter d'autre![]()
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/人◕‿‿◕人\Smokman a écrit :Mais je n'ai pas perdu espoir dans ton évolution.