Euhh... Je ne trouve pas que le héros malheureux ou triste à jamais soit super courant dans la littérature.
Bien au contraire !
En réfléchissant un peu, je n'arrive à trouver que trois fins "tristes" et encore, y'en a une des trois qui est sujette à caution pour moi !
). On peut pas dire que ce soit une majorité !
Alors je pense qu'au contraire, l'auteur a bien plus de "courage" de faire mourir son héros que de le laisser en vie et heureux, comme on peut s'y attendre quand on commence le livre.
Conan Doyle avait essayé de tuer Sherlock Holmes et il a finalement dû le "ressuciter" sous la pression des fans. Je ne vois donc pas trop en quoi il y a audace là dedans.
Alors tuer Harry ou le laisser vivant, c'est une chose mais dire que les héros heureux à la fin soient une situation peu courante est un peu exagéré pour moi.