NB : J'ai fait une tentative de lipogramme en E sur la première page du premier tome (ça veut dire : pas le droit d'utiliser la lettre E). Du coup, j'ai du changer les noms Dursley, Dudley et Potter en Dursly, Dudly et Pottar et passer du présent à l'imparfait à chaque phrase. Il faudrait encore le retravailler, particulièrement le premier paragraphe. Ça me fait tout bizarre d'écrire des mots avec des E maintenant !
Bouquin I : Harry Pottar poursuivant un caillou philosophal
Gamin pas mort
Mr Dursly habitait au 4, rond-point Privat. Mrs Dursly aussi. Pas anormaux pour un sou, on n'imaginait pas d'implication dans du biscornu ou un truc abracadabrant. Quand on avait Dursly pour nom, on n'allait pas gaspillant un instant pour du niais.
Boulot du Dursly : PDG à la Grunnings, fabricant d'outils aidant à la production d'un trou dans un mur. Portrait du Dursly : gros, gras, aucun cou, mais il y avait du poil sous son pif. Mrs Dursly a un corps maigrichon, du crin blond au front, un bi-cou - pas mal du tout pour voir l'action dans un jardin avoisinant. Ils ont un bambin, Dudly. Ni Mr ni Mrs Dursly n'avait jamais vu nourrisson plus charmant.
Pas d'insatisfaction pour Mr, Mrs ni Dudly Dursly, mais il y avait dissimulation. Ils sont craintifs. Chacun mourrait avant qu'un individu, qui qu'il soit, apprît la liaison Dursly-Pottar. Un rapport consanguin liait Mrs Dursly à Mrs Pottar : un papa commun, la maman aussi. Ca fait un bail qu'ils sont sans contact. Du coup, Mrs Dursly simulait n'avoir aucun frangin. La dondon à papa-maman, plus son mari bon à tintin ont trop d'attributs discordants par rapport aux Dursly. Si jamais un voisin voyait un Pottar autour du 4, rond-point Privat... Mrs Dursly s'affolait à l'instant où ça lui passait par l'imagination ; Mr Dursly trouvait plus sympa d'avoir l'air ignorant qu'ils sont vivants. Il savait qu'il y avait aussi un gamin Pottar, un nourrisson, mais ils n'avait jamais vu l'infant - pas plus mal : sinon, un poupon aussi vilain pourrait agir sur Dudly.
Par Pruneau
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Lipogramme en eLes habitants de Little Hangleton l'appelaient toujours la maison des "Jeux du sort", même s'il y avait de nombreuses années que la famille Jedusor n'y vivait plus. Elle se dressait au sommet d'une colline dominant le village, certaines de ses fenêtres condamnées par des planches, le toit dépourvu de tuiles en plusieurs endroits, la façade envahie d'un lierre épais qui poussait en toute liberté. Autrefois, le manoir avait eu belle apparence, c'était sans nul doute le plus grand et le plus majestueux édifice à des kilomètres à la ronde mais, à présent, la maison des "Jeux du sort" n'était plus qu'une bâtisse humide, délabrée, déserte.
Au bourg habitait un fort total d' clans qui nommait la maison du clan Jedusor ainsi : la maison aux « Jeux du sort ». Mais Jedusor n’y vivait plus. La maison dominait un bourg, Little Hangleton. Voici la maison : judas bannis par obstructions dans du bois, un plafond pas sans trous, un avant pris sous un plant (il poussait à l’abandon). Il fut un jour où c’t habitat fut charmant, un clan disait « on visa plus grand », un suivant disait « on visa plus imposant » mais toujours il resta grand ou imposant, sauf qu’à partir d’un jour, tout devint froid, suintant, affaibli, mort. Aujourd’hui toujours, ça n’a pas converti.
Lipogramme en l
Les demeurant de Little Hangleton l’appelent la demeure des « Jeux du sort », pourtant aucun Jedusor ne séjourne plus là. Elle s’élève tout en haut d’un mont surplombant le hameau, la couverture trouée par endroits, la façade étouffée sous une plante montante verte poussant comme le vent. Auparavant, le château fut beau, on parle même du château le plus grand et le plus majestueux des alentours. Pourtant, actuellement, la demeure des « Jeux du sort » se résume à une masure trempée, cassée, déserte.
Par Wooztas
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Lipogramme en a
Les possesseurs de propriétés de Little Engleton nommeront toujours une demeure "forteresse du jeux du sort", même si depuis de nombreuses années les Jedusor n'y sont plus. Elle se dresse sur le sommet d'une colline éminente, ses fenêtres défendues par du bois pourri, le toit dépourvu de tuiles en plusieurs endroits, de plus d'une vitrine enterrée sous le lierre épais qui pousse en toute liberté. Hier, cette forteresse eu belle mine, le plus étendu et le plus majestueux édifice pour les kilomètres des environs. De nos jours, cette "forteresse du jeux du sort" n'est plus qu'une ruine humide, détériorée et déserte.
Par Wiiza
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Quand Harry arriva, tout Dursley connu à Privet Drive figurait autours du comptoir. Aucun n'avait dit bonjour, mais il s'assit. The Daily Mail cachait cachait tonton Vernon, tata Pétunia distribuait un fruit (trois quarts plus un) chacun.Lorsque Harry arriva dans la cuisine, les trois Dursley étaient déjà assis autour de la table. Personne ne leva les yeux quand il entra et s'assit à son tour. Le gros visage violacé de l'oncle Vernon était caché derrière le Daily Mail et la tante Pétunia était occupée à couper un pamplemousse en quatre, les lèvres retroussées sur ses dents de cheval.
Dudley avait un air furieux, boudeur, et semblait prendre encore plus de place qu'à l'ordinaire. Ce qui n'était pas peu dire car, en temps normal, il occupait déjà à lui seul tout un côté de la table. Lorsque la tante Pétunia posa un quart de pamplemousse sans sucre sur son assiette en disant d'une voix tremblante : « Tiens, mon petit Duddy chéri », Dudley lui lança un regard noir. Sa vie avait pris un tournant passablement désagréable depuis qu'il avait rapporté son bulletin, à la fin de l'année scolaire.
Dudley avait un mauvais air, il avait grossit durant la nuit cru Harry, il occupat un bord, ou plus, du comptoir. Pétunia posa un quart du fruit pas adouçit au C6H12O6 puis dit :
-Mon Duddlychounit, voilà pour toi.
Duddy lui lança un pic noir. Jamais Duddy n'avait subi aussi dur affront. Tout ça pour un rapport soignant.
Par Wooztas
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