Love Hina > Va vite mettre tes doigts dans une prise électrique. Comment ne peut-on pas aimer, que dis-je vouer un culte à Love Hina, le shônen le plus drôle de tous les temps ?? Je ne peux l'imaginer. Même après des dizaines de lectures, j'en ris encore. Bien sûr, je parle du manga, pas de l'anime. Je précise, car tu as l'air de confondre les deux.Florian_83 a écrit :Mes frères m'ont lancé sur love hina, sympa sans plus, j'ai essayé de regarder Bleach, j'ai regardé le premier épisode mais j'ai pas accroché.
Un manga, c'est de la BD. Donc, c'est sur papier (ou quand tu es un vil fraudeur ou un impatient compulsif, sur écran, mais oublions cette partie). Un anime (ou réduction pour "dessin animé d'origine japonaise") se voit uniquement sur écran.
Par conséquent, et en relisant tes posts, tu dois parler d'animes, pas de mangas.
Et en ce sens, un seul conseil de ma part: Jamais, Ô grand jamais (Benît Poelvoorde, si tu me lis) tu ne devras regarder d'animes adaptés de mangas. Exit donc Bleach, One piece, Love Hina Death note et autres. Pourquoi ?
Eh bien, parce que, tout simplement ! Non mais ! Qui es-tu pour remettre ma parole en doute ?
Plus sérieusement, et je parle de mon expérience, pas d'un code absolu, les animes adaptés sont lents, trop statiques et décevants si on a déjà lu les tankobon. Si on ne les a pas lu, c'est encore pire, on a tout simplement l'impression que ça n'avance pas, et c'est vrai, on stagne.
Il est par contre quantité d'anime originaux qui ne demandent qu'à être vus, certains étant même des classiques de référence:
- Neon Genesis Evangelion (26 épisodes, et chercher la version originale, pas les remix qui sont sortis récemment): Cité par tous les spécialiste comme LA référence, LE changement dans la japanimation des années 90, cette histoire part d'une base classique (des gamins de 16 ans qui pilotent des mechas contre des gros méchants) pour très vite s'en détacher par la complexité de ses personnages, ses dilemmes et sa réflexion profonde sur l'Humanité. Et tout ça en restant un des summums en animes d'action.
- Cowboy Bebop (pas beBop; quoique; mais ce qu'il fait de sa vie privée ne regarde que lui): 26 épisodes encore, un anime avec un début qui accroche, un développement qui vaut le détour, et une fin qui met une bonne claque. Encore un classique dont la vision est obligatoire à qui veut se targuer d'avoir un peu de culture japanime.
- Gungrave (toujours 26 épisodes): Dans la même veine que le précédent, on a un début, une fin claires et une construction originale du récit dont peu d'animes peuvent se targuer (le premier épisode nous mettant l'eau à la bouche, les douze suivants ne sont qu'un gigantesque flashback expliquant le pourquoi du pilote, et finalement, l'apothéose).
Quand tu auras déjà vu au moins deux des trois animes cités, on pourra commencer à rediscuter.